Accompagnés par Éric van der Does (un grand merci à lui), nous avons commencé le parcours Vitalité en 2015.
Notre Église de Paris a été déclarée stable. Une des caractéristiques de l’église stable c’est qu’elle sait qu’elle est stable. Pas de surprise, pas de réaction particulière.

7 pasteurs d’Alésia

Les pasteurs Claude Baty, Katie Badie, Max Bourgeois, André Pownall, David Alègre, Isabelle Maurel, Samuel Bénétreau rassemblés pour un culte « historique » en avril 2016.

Nos différentes étapes

  • Une équipe Vitalité a été mise sur pied pour les 8 premières étapes du parcours.
  • Notre texte : Luc 24.13-33, choisi après un week-end d’Église et un vote ; il est affiché au fond de l’église et relu et ré-évoqué de temps en temps.
  • Chaque semaine environ 70 personnes, qui ont communiqué leur adresse électronique pour cela, reçoivent un sujet de prière pour l’Église, le mardi, et consacrent une quinzaine de minutes à prier pour le renouvellement et le réveil de l’Église.
  • Le 10 avril 2016, nous avons revisité notre histoire locale par le biais d’une journée spéciale à laquelle la plupart des anciens pasteurs d’Alesia ont participé. Leur témoignage ainsi que celui d’un éventail de membres de différentes périodes a permis de se souvenir des bénédictions de Dieu sur cette Église et de voir par quels chemins Dieu nous a conduits.
  • La charte relationnelle : c’est l’étape que le groupe Vitalité redoutait le plus. Un groupe de travail représentatif de la diversité de l’Église a été réuni autour de l’équipe Vitalité pour définir ce qu’on voulait y voir figurer. Ensuite l’équipe Vitalité a rédigé le texte, qui a été soumis au conseil, puis expliqué et validé lors d’une réunion spéciale. La charte vise à permettre à chacun de trouver sa place dans l’Église, à clarifier et simplifier les relations, à encourager plutôt que culpabiliser et à permettre une gestion juste des conflits.
  • Le conseil a demandé aux pasteurs de prêcher sur les 10 valeurs de Vitalité.
  • L’enquête a dégagé trois domaines prioritaires dans lesquels progresser : 1 – l’intérêt spirituel pour les non-chrétiens ; 2 – la croissance spirituelle individuelle ; 3 – l’amélioration de l’implication et du partage dans la vie d’Église.
  • Ces trois points vont être travaillés par un nouveau groupe en lien avec le conseil.

Des effets bénéfiques

Là encore, les résultats ne sont pas surprenants, MAIS l’enquête a permis de poser des faits objectifs et quantifiables. Nous pourrons mieux nous appuyer sur nos forces pour bien travailler ces trois axes.

D’une façon générale, le parcours Vitalité oblige à passer par des étapes que nous n’aurions pas envisagées. Son côté contraignant a des effets bénéfiques.

Tout le monde n’est pas encore « dans le coup » de vitalité, mais peu à peu l’Église est mise en mouvement.